Quand j’étais petit, je croyais que tout ce qui était donné, était perdu. Bon, il faut dire que fils unique puis ainé, ça n’était pas gagné.
Quelques années, souffrances et nécessités à changer plus tard, je crois maintenant que tout ce qui n’est pas donné, est perdu. Oui c’est vrai, je suis resté longtemps attaché à des richesses « étincelantes ».
Je pense maintenant que la richesse la plus précieuse est l’Envie, parce qu’elle est à la base de toutes les autres.
Voilà, très bien, formidable… Mais qu’est-ce qu’on fait quand on a perdu l’Envie ??
Et bien, on en emprunte un peu aux autres. En attendant de leur redonner…
J’en ai trouvé à l’école, dans un « Eloge de l’Optimisme » de Philippe Gabilliet. Je vous laisse voir et vous conseille un petit détour à l’occasion.